edts de la martinière 2012 , 25 x 32 cm relié cartonné jaquette avec quelques accrocs , 368 pages papier papier 90gr voir plus , entièrement en photos
"Je suis né au Chili et, dès ma plus tendre enfance, j'ai toujours éprouvé une étrange attirance pour les chevaux. Pendant la période des vacances, j'allais rendre visite à des parents qui exploitaient des vignes dans la région de Maule. Ils possédaient des chevaux qu'ils utilisaient pour parcourir les terres, et je montais alors avec eux. Nous aimions jouer aux cow-boys et aux indiens avec de vraies montures. C'est une chute violente, à huit ans, qui devait m'inspirer un profond respect pour ces animaux. Plus tard, films et livres sur cet animal m'ont ébloui. Peu à peu, l'attirance et le respect sont devenus une réelle passion pour les aventures équestres et pour tout ce qui touche aux chevaux."
Pendant vingt ans, Patricio Estay est donc parti à la rencontre des plus grands peuples cavaliers du monde : les gauchos argentins, les stockmen d'Australie, les guerriers du roi au Cameroun, les gardians camarguais, les butteris en Toscane, les cavaliers-archers du Japon, les centaures des sables au Maroc, les charros mexicains, les seigneurs de la steppe mongole, les cavaliers dans l'arène au Portugal et en Espagne, enfin les cow-boys et les indiens. Ses reportages nous font vivre un quotidien parfois difficile, mais aussi les grandes coutumes et les fêtes somptueuses. La symbiose entre l'homme et le cheval est à chaque page évidente, magnifiquement palpable.
Patricio Estay est né au Chili en 1953. Après l'obtention de son diplôme d'ethnomusicologie, il se lance dans le photojournalisme. Son premier reportage professionnel couvre le coup d'État militaire à Santiago du Chili en 1973. Cette même année, il trouve refuge au Brésil, puis arrive en France ; en 1981. Il publie alors dans Le Figaro Magazine, Libération, L'Express, Animan, Geo, Stern et Newsweek. Il expose au Grand Palais (« L'Amérique latine à Paris », 1982), à Visa pour l'Image avec Alberto Korda (« Trente ans de Révolution cubaine », 1989). Son expérience personnelle de l'exil l'a rapproché du sort des Tibétains et du Dalai Lama.
Patricio Estay vit aujourd'hui entre Paris et Florence
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